Enfance en danger
- 119 : 24/24h et 7jours/7 (anonyme, gratuit et intraçable)
- La voix de l’enfant : 01.56.96.03.00
- L’enfant bleu-enfants maltraités : 01.56.56.62.62
- Colosse aux pieds d’argile : 07.50.85.47.10
- Stop maltraitance-enfance et partage : 0 800 05 1234
- « e-enfance » accessible par le 0 800 200 000, du lundi au vendredi de 09h00 à 20h00 et le samedi de 09h00 à 18h00 via son site internet
Violences intra familiales
- Site du Secrétariat d’Etat chargé de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations
- Maintien du 3919 , du lundi au samedi, de 9h à 19h (anonyme, gratuit et intraçable)
- Possibilité d’envoyer un SMS au 114
- Plateforme « Arrêtons les violences » pour dialoguer par tchat avec un policier ou gendarme
Angoisse, sentiment d’insécurité, difficultés relationnelles
- Numéro vert de la Croix rouge : 0 800 130 000
Cellule de soutien et d’aide psy : 24h/24, 7j/7 : évaluation faite par téléphone puis orientation vers plate-forme Croix Rouge ou CUMP.
Pour les auteurs de violences
- Le numéro de prévention des #ViolencesConjugales a ouvert le 6 avril : 0.801.901.911.
Préservez votre famille des violences : « Le confinement vient percuter l’histoire familiale et personnelle de chacun. Cette situation crée parfois de l’anxiété, il y a moins d’exutoires et de soupapes de décompression, et ce, alors que dans les familles, l’école à la maison peut parfois exacerber les tensions », … il n’y « a pas de honte à téléphoner ».
Cette ligne, financée par la Délégation aux Droits des femmes et gérée par la Fédération nationale d’accompagnement des auteurs de violences (Fnacav), est ouverte du lundi au dimanche de 9H00 à 19H00.
Pendant la période de confinement, 22 intervenants, psychologues ou spécialistes de la prise en charge des auteurs de violences, vont se succéder pour proposer une écoute et mettre en lien les appelants avec l’une des 36 structures adhérentes de la Fnacav. Ils pourront recevoir jusqu’à trois appels en simultané. « L’objectif est de permettre à des gens au bord de la violence, ou déjà dedans, d’appeler pour trouver une écoute et commencer un travail« , a expliqué à l’AFP Alain Legrand, président de la Fnacav, enjoignant à « appeler avant de frapper ».
Des solutions d’hébergement temporaire, dans des centres ou bien en chambre d’hôtel, pourront aussi être proposées selon les situations.
- Article du Ministère de la Justice